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L'état de découragement larvé à précipité la fuite dans des valeurs refuges. Il nous oblige à considérer passivement la marche des choses, sans que nous ayons notre "mot à dire".
On connaît en cela le travail des médias, des agents du pouvoir et des idéologues scolaires.
Le mot d'ordre est "ne touchez à rien", laissez-vous faire", et surtout taisez-vous. Nous voilà donc confinés dans un espace où aucune activité démocratique n'est désormais possible.
Sur un plan plus profond, qui est mental, il nous faudrait rompre avec cet ordre qui nous lie.
C'est à dire consentir à changer.
Changer de peau
Changer de méthode
Changer de références.
Sans cela, nous sommes submergés par de nouvelles donnes que nous ne souhaitons pas maîtriser.
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Quand les toilettes de la Sanef s'engagent.
Tant de marchands qui s'engagent... A quel point le mot, qui relevait du vocabulaire noble, s'est dégradé.
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Où se réfugie aujourd'hui la fonction critique ? De quoi a-t-elle peur ?
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Où se réfugie aujourd'hui la fonction critique ? De quoi a-t-elle peur ?
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Il/elle, nous a quittés.
Pas moi, m’sieur.
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